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"dans la basse-cour il y a , des poules, des cochons, des oies..
(....)des poules, des cochons, des oies, qui ganbadent dans la marre et ça fait "cotcotcotcodetcotcotcotcodet"......."
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Si cette nuit là je m'en sort pas Dis, Dis qu'es ce que ça changera?
Manipulations, sotises..viens, viens là Dis, Dis tu n'y échappera pas!
prise au piège, manipulée comme ils le veulent
nous sommes dedans, toi tu penses t'en défaire mais non on en sortira pas!
mieu vaut vivre ici..alors souries??
puisque rien ne peux nous en sortir mais nous on dit faire de notre mieu puisque même nos actions nos srend compte que ça ne change pas grand chose...
relever les bras on les laisse retomber.. on préfère se les tenir quitte à se les faire bouffer jusquà se qu'on nous dise qu'il ya plus rien à faire
et que ces batards ils réusissent leurs affaires..
rendez-vous compte où va le pays? alors imaginez le monde?
rendez-vous compte de ces réformes et dis!, président sera qui??
alors imaginez l'immonde..qui peu à peu nous innonde!
allons nous rebaissez les bras? même de peur de nous les faire briser? dites, dites ON S'EN sortira..!!
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Salut à toi ô mon frère
Salut à toi peuple khmer
Salut à toi l'Algérien
Salut à toi le Tunisien
Salut à toi Bangladesh
Salut à toi peuple grec
Salut à toi petit Indien
Salut à toi punk iranien
Salut à toi rebelle afghan
Salut à toi le dissident
Salut à toi le Chilien
Salut à toi le p'tit Malien
Salut à toi le Mohican
Salut à toi peuple gitan
Salut à toi l'Ethiopien
Salut à toi le tchadien
Salut à vous les Partisans
Salut à toi "cholie all'mante"
Salut à toi le Vietnamien
Salut à toi le Cambodgien
Salut à toi le Japonais
Salut à toi l'Thaïlandais
Salut à toi le Laotien
Salut à toi le Coréen
Salut à toi le Polonais
Salut à toi l'Irlandais
Salut à toi l'Européen
Salut à toi le Mongolien
Salut à toi le Hollandais
Salut à toi le Portugais
Salut à toi le Mexicain
Salut à toi le marocain
Salut à toi le Libanais
Salut à toi l'Pakinstanais
Salut à toi le Philippin
Salut à toi l'Jamaïcan
Salut à toi le Guyanais
Salut à toi le Togolais
Salut à toi le Guinéen
Salut à toi le Guadeloupéen
Salut à toi le Congolais
Salut à toi le Sénégalais
Salut à toi l'Afro-cubain
Salut à toi l'Porto-ricain
Salut à toi la Haute Volta
Salut à toi le Nigéria
Salut à toi le Gaboni
Salut à toi le vieux chtimi
Salut à toi Che Guevara
Salut aux comités d'soldats
Salut à tous les hommes libres
Salut à tous les apatrides
Salut à toi la Bertaga
Salut aussi à la Banda
Salut à toi punk anarchiste
Salut à toi skin communiste
Salut à toi le Libéria
Salut à toi le Sri Lanka
Salut à toi le sandiniste
Salut à toi l'unijambiste
Salut l'mouv'ment des Jeunes Arabes
Salut à toi Guatemala
Salut l'P4 du contingent
Salut à toi le Shotokan
Salut à toi peuple Kanak
Salut à toi l'tchécoslovaque
Salut à tous les p'tits dragons
Salut à toi qui est keupon
Salut à toi jeune Malgache
Salut à toi le peuple basque
Salut à toi qu'est au violon
Salut à toi et mort aux cons
Salut à toi le Yougoslave
Salut à toi le voyou slave
Salut à toi le Salvador
Salut à toi le Molodoï
Salut à toi le Chinois
Salut à toi le Zaïrois
Salut à toi l'Espagnol
Salut à toi le Ravachol
Salut à toi le Hongrois
Salut à toi l'iroquois
Salut aussi à tous les gosses
Des îles Maudites jusqu'à l'Ecosse
Salut à vous tous les zazous
Salut à la jeune garde rouge
Salut à toi le peuple corse
Salut aux filles du Crazy Horse
Salut à toi la vache qui rit
Salut à Laurel et Hardy
Salut à toi peuple nomade
Salut à tous les "camawades"
Salut à toutes les mères qui gueulent
Salut aussi à Yul Brunner
Salut à toi l'handicapé
Salut Jeunesse du monde entier
Salut à toi le dromadaire
Salut à toi Tonton Albert
Salut à toi qu'est à la masse
Salut aussi à Fantomas
Salut à toi Roger des près
Salut à toi l'endimanché
Salut à tous les paysans
Salut aussi à Rantanplan
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Morte de sécheresse
La fiancée de l'eau
A marié son sang
A celui du ruisseau
Prince range ton drap blanc
Prince range ton drap blanc
Il ne sera jamais
Le drapeau rougissant
De sa virginité
Regarde son honneur
Regarde son honneur
S'enfuir par la mort
Regarde triste voleur
L'absence dans son corps
Tu peux creuser la terre
Tu peux creuser la terre
Avec tous tes remords
Creuser jusqu'en enfer
Creuser, creuser encore
Non, tu n'auras rien d'elle
Non, tu n'auras rien d'elle
Il n'y a plus rien à prendre
Elle s'est jetée au ciel
Tu commences à comprendre
Que tout n'est pas à vendre
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Ma planète.... de mon autre.
On baisse la tete
On avance
On croit connaitre ce monde
Lorsqu'on s'y ai perdu
Qu'y a t-il a regretter?
Je n'ai versé aucune larme
Sur sa tombe
Quand l'aurore est venue
Les yeux au ciel, une colombe
J'ai du y croire, j'y ai trop cru.
on a fumé ce matin
Sur le balcon
Main dans la main
Comme deux gros cons.
Sous le soleil
Je trouve qu'on se traine
Seule l'obscurité nous emmene
car seul, cette vie nous emmerde
Enfin, on se laisse porter par ce reve
Voire la lumière courir tes veines
Réver à m'endormir sur le recoin de tes lèvres.
D'histoire en histoire
On vit pour la fortune
Opression illusoire
Courir vite dehors
Pour cette clope qui se consume
Et qu'en peux plus de finir en cendre
Devant ce sourir désabusé
Foutu d'attendre.
On s'imagine encore
Survivre de ses erreurs
on s'imagine fort
Vaincu et vaincoeur
On s'lève sous l'orage
A naitre dans la misère
On esquive les naufrages
Pour enfin toucher la terre
son des vagues, sans repère
juste à bord du plus pourri des navires
Moi qui ai vu s'éteindre mon père
Manque d'amour c'est bien mon coeur qui chavire
Alors on marche sous la pluie
moi j'ai perdu mes allumettes
Illuminé par l'ennemi
Pourquoi n'allume t-il pas ma putain de cigarette?
Le long de cette mer noire
On gravit la cote à genoux
On boit de l'Espoir
Jusqu'a en etre soul
on veut vivre notre histoire
Au plus profond, jusqu'au bout
Mais on rit tellement plus fort
Dans l'abyme des fous
Consommation d'un Amour
On y vas, première capotte
On frémit au lever du jour
On se réveille dans la flotte
Le cul gelé
Le coeur à bout
Les mains liées
Les yeux dans le flou
On s'endors au fond d'une rue
Moi finalement j'ai le mal de terre
Je ne sais plus mon nom, ni pourquoi je suis venue
Ma planéte était extraordinaire
Croire qu'on ne peut plus avoir peur
A Vouloir braver l'inconnu
Le temps est un assassin
A présent je ne me souviens plus..
Revenir d'un voyage dans retour
Les yeux sur un faux plafond d'étoiles
Sous ce connard qui me fait l'amour
En meme temps qu'il me fait mal
Alors on s'endors au fond de cette rue
On crève de faim dans la merde
Ici bas dans ce monde foutu
Finalement on s'y emmerde...
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